À PROPOS de Jimi Zio

à propos jimi zio artiste

’’J’ai été bercé par la pop culture américaine et je consacre une place importante aux paysages italiens par amour de mes origines.’’

Mes inspirations.

Je sélectionne les portraits ou les paysages que je dessine uniquement sur des coups de cœur, en fonction de l’actualité, des endroits visités, toujours à l’écoute de mes sensations. Faire passer des messages qui m’inspirent, qui me motivent… sont l’essence même de mes réalisations.

Si je consacre naturellement une place importante aux paysages italiens en raison de mes origines siciliennes qui me sont chères, j’ai également toujours eu une grande sensibilité pour la culture américaine. On le retrouve à travers de nombreuses illustrations que je réalise. De la pop-culture, à mon amour pour la NBA… c’est pour moi une source inépuisable d’inspiration. J’admire ce patriotisme tout en portant haut et fort des combats sociaux tels que le « Black Lives Matters ».  Leur audace, leur ferveur ont toujours fait écho en moi. Instinctivement je fais le parallèle avec mes racines et mes origines siciliennes.

Un artiste, plusieurs vies.

Durant mon enfance, j’adorais dessiner, peut-être par mimétisme de ce que je côtoyais au quotidien, avec un père illustrateur et peintre de talent. Mais la vie a fait que je n’ai pas pu suivre une école d’art, j’ai dû faire des choix un peu plus pragmatiques qui ont stoppés mon rêve d’enfant : dessiner, illustrer…, la vie suit son cours, les années s’enchaînent et je m’épanouis personnellement sous le soleil du sud de la France, auprès de ma femme et de mes enfants.

Dans tout ce que je vivais au quotidien, mes voyages, mes inspirations, l’art ne m’a jamais quitté. Mais finalement, après ces années « d’hibernation », il y eut ce jour, où mon neveu me demanda de réaliser une illustration, à partir de cet instant, tout s’est ravivé puissance mille. J’ai retrouvé les sensations, le toucher du crayon, du papier, voir, défaire, refaire, dessiner : je n’avais jamais perdu cette flamme.

J’ai persévéré et pu reprendre cette passion qui m’animait tant plus jeune et qui est toujours là aujourd’hui, porté par l’énergie quotidienne de mon entourage. Voilà quelques années, que je dessine de nouveaux portraits, de nouveaux paysages…

L’instinct prend le dessus.

Le dessin est pour moi une thérapie personnelle, une bulle où je peux souffler et faire le vide. Je n’ai pas de méthode prédéfinie, je fonctionne à l’instinct : je peux commencer un portrait par les cheveux, par les yeux ou le nez, peu m’importe, je dessine comme je le ressens sur l’instant.

Mes techniques sont variées, je me fis à mon instinct et ne me ferme aucune porte. Je réalise souvent mes oeuvres au feutre noir, d’autres fois avec des pastels, il m’arrive de peindre à l’acrylique lorsque j’en ressens l’envie. Cependant j’ai une prédilection pour réaliser mes œuvres au crayon. Je me sens aujourd’hui à l’aise avec tout, je ne ferme aucune porte et je m’autorise à explorer de nouvelles techniques régulièrement.